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L'impression 3D est un catalyseur de l'éco-révolution car elle permet de reproduire des pièces de rechange, prolongeant la durée de vie des objets et soutenant l'économie circulaire. Cela réduit l'impact environnemental de deux façons : le processus est économe en matériaux (peu de déchets, contrairement à la fabrication soustractive) et la production locale réduit l'empreinte carbone liée au transport.

Les points clés sont : Création de l'Impossible : Elle permet de fabriquer des pièces aux géométries complexes et optimisées impossibles à réaliser avec les méthodes traditionnelles. Personnalisation : Elle autorise la personnalisation de masse (prothèses, outils) grâce à la production sur mesure, même en très petites séries. Innovation : Elle explore de nouveaux domaines d'application (aérospatiale, construction, biomédecine) et de nouveaux matériaux (métal, béton, bio-ma

L'extrait souligne que l'achat de filament 3D exige d'anticiper l'évolution des polymères pour l'imprimante 3D. Cette anticipation est essentielle car les tendances futures (comme les composites fibrés, les biopolymères améliorés et les filaments à fonctionnalité spécifique, par exemple la conductivité) redéfinissent sans cesse le marché.