L'idée centrale est de privilégier des matériaux durables, comme les polymères recyclés performants ou les bioplastiques compostables, sans compromettre la qualité technique. L'acheteur responsable doit analyser la fin de vie du filament (recyclabilité/biodégradabilité) et la transparence du fournisseur concernant son impact environnemental et son empreinte carbone. Cela assure que l'impression 3D contribue positivement aux enjeux de durabilité globaux.